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法新社-一死一和四人受傷,一人傷勢嚴重,在爆炸的一爐用於回收放射性廢物的核設施Centraco的Codolet(GARD),事故已無洩漏引起當局說。
根據核安全管理局(ASN),其中已啟動了應急中心在爆炸發生後中午,事發在下午四點結束。烤箱得罪“用於熔化金屬的低放射性廢物和非常低的活動。”
據專家從研究所輻射防護與核安全,它包含四個噸的金屬,其放射性是67000貝可,“沒有任何行動,什麼是包含在一個反應堆。”
嚴重燒傷的受害者,其預後聘為消防隊員,由直升機被疏散的蒙彼利埃大學醫院。“備份沒有發現任何放射性污染”對其他三人住院Bagnols河畔Ceze(GARD),在縣。
在現場,一個成員對網站的管理,羅蘭 Vierne說,爆炸沒有發生在窯本身,而是在一個地方,它的位置,並分析了圍繞無滲漏檢測。該建築不被損壞。
大火引起的爆炸很快被撲滅,據 EDF,包括一間附屬公司,Socodei(學會包裝廢棄物和工業廢水),運營中心進行處理和包裝的低放射性廢棄物(Centraco )。
所有的受害者都受僱於 Socodei。
“這是一個工業事故,不發生核事故,”他告訴法新社一名發言人 EDF。
“沒有衡量禁閉或撤離的”打工仔“須”之稱的內政部。
爆炸“沒有造成放射性洩漏,”他告訴法新社一名發言人的能源部,這證實了原子能委員會,核能運營商的馬爾庫勒網站,對此 Centraco,這解除了應急預案,下午。
環保組織看到一個例子,在事故的風險核電,半年後,在日本福島災難。
綠色和平組織呼籲“立即和充分的透明度,”遺憾,該網站被認為是“不是在審計的核設施要求法國政府,也沒有在最近視察核安全管理局。”
部長對生態娜塔莉科西阿斯科- Morizet,預計下午5點 15到現場參加了“準確評估潛在的放射性影響的這起事故。”
能源大臣埃里克貝松說,他“非常感動,這起事故和人力後果”,並稱在Twitter說,“享受一些喜慶的”當一個事件或工業事故或核“是不健康的。“
該 Centraco是處理廢物弱放射性或非常弱,或合併為廢金屬(閥門,泵,工具),或焚燒廢物燃料,如手套和工作服的技術人員。這兩個烤爐已被逮捕作為一種預防措施。
“一項調查將開放,以確定確切原因的事故,造成了極大的興奮各級 Socodei”,擁有員工約 200人,該公司補充說,“這是第一出現這樣的悲劇發生如此規模的網站上。“
ASN,根據其網站,不過,被發現在過去的“差距在安全文化內安裝 Centraco”,要求經營者“定義和實施行動提高經營安全。“ 2010年,進步已經注意到,該人士表示。
根據核安全管理局(ASN),其中已啟動了應急中心在爆炸發生後中午,事發在下午四點結束。烤箱得罪“用於熔化金屬的低放射性廢物和非常低的活動。”
嚴重燒傷的受害者,其預後聘為消防隊員,由直升機被疏散的蒙彼利埃大學醫院。“備份沒有發現任何放射性污染”對其他三人住院Bagnols河畔Ceze(GARD),在縣。
在現場,一個成員對網站的管理,羅蘭 Vierne說,爆炸沒有發生在窯本身,而是在一個地方,它的位置,並分析了圍繞無滲漏檢測。該建築不被損壞。
大火引起的爆炸很快被撲滅,據 EDF,包括一間附屬公司,Socodei(學會包裝廢棄物和工業廢水),運營中心進行處理和包裝的低放射性廢棄物(Centraco )。
所有的受害者都受僱於 Socodei。
“這是一個工業事故,不發生核事故,”他告訴法新社一名發言人 EDF。
“沒有衡量禁閉或撤離的”打工仔“須”之稱的內政部。
爆炸“沒有造成放射性洩漏,”他告訴法新社一名發言人的能源部,這證實了原子能委員會,核能運營商的馬爾庫勒網站,對此 Centraco,這解除了應急預案,下午。
環保組織看到一個例子,在事故的風險核電,半年後,在日本福島災難。
綠色和平組織呼籲“立即和充分的透明度,”遺憾,該網站被認為是“不是在審計的核設施要求法國政府,也沒有在最近視察核安全管理局。”
部長對生態娜塔莉科西阿斯科- Morizet,預計下午5點 15到現場參加了“準確評估潛在的放射性影響的這起事故。”
能源大臣埃里克貝松說,他“非常感動,這起事故和人力後果”,並稱在Twitter說,“享受一些喜慶的”當一個事件或工業事故或核“是不健康的。“
該 Centraco是處理廢物弱放射性或非常弱,或合併為廢金屬(閥門,泵,工具),或焚燒廢物燃料,如手套和工作服的技術人員。這兩個烤爐已被逮捕作為一種預防措施。
“一項調查將開放,以確定確切原因的事故,造成了極大的興奮各級 Socodei”,擁有員工約 200人,該公司補充說,“這是第一出現這樣的悲劇發生如此規模的網站上。“
ASN,根據其網站,不過,被發現在過去的“差距在安全文化內安裝 Centraco”,要求經營者“定義和實施行動提高經營安全。“ 2010年,進步已經注意到,該人士表示。
AFP - Un homme est mort lundi et quatre ont été blessés, dont un grièvement, dans l'explosion d'un four servant à recycler des déchets faiblement radioactifs sur l'installation nucléaire Centraco de Codolet (Gard), un accident qui n'a provoqué aucune fuite selon les autorités.
Selon l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui avait activé son centre d'urgence après l'explosion survenue à la mi-journée, l'accident s'est terminé à 16H00. Le four incriminé "servait à fondre les déchets radioactifs métalliques de faible et très faible activité".
Selon un expert de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, il contenait quatre tonnes de métaux dont la radioactivité était de 67.000 becquerels, "sans aucune mesure avec ce qui est contenu dans un réacteur".
La victime grièvement brûlée, dont le pronostic vital est engagé selon les pompiers, a été évacuée par hélicoptère au CHU de Montpellier. "Les secours n'ont décelé aucune contamination radiologique" sur les trois autres, hospitalisés à Bagnols-sur-Cèze (Gard), selon la préfecture du département.
Sur place, un membre de la direction du site, Roland Vierne, a précisé que la déflagration ne s'était pas produite dans le four lui-même, mais dans un local où il est situé, et que des analyses effectuées autour n'avaient décelé aucune fuite. Le bâtiment n'a pas été endommagé.
L'incendie déclenché par l'explosion a été rapidement maîtrisé, selon EDF, dont une filiale, la Socodei (Société pour le conditionnement des déchets et des effluents industriels), exploite le Centre de traitement et de conditionnement des déchets de faible activité (Centraco).
Toutes les victimes sont employées par la Socodei.
"C'est un accident industriel, ce n'est pas un accident nucléaire", a précisé à l'AFP un porte-parole d'EDF.
"Aucune mesure de confinement ou d'évacuation" des salariés "n'a été nécessaire", a souligné le ministère de l'Intérieur.
L'explosion "n'a pas occasionné de fuite radioactive", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère de l'Energie, ce qu'a confirmé le Commissariat à l'énergie atomique, exploitant nucléaire du site de Marcoule, dont dépend le Centraco, qui a levé son plan d'urgence dans l'après-midi.
Les organisations écologistes ont vu dans l'accident un exemple de plus des risques du nucléaire, six mois après la catastrophe de Fukushima au Japon.
Greenpeace a réclamé une "transparence totale et immédiate", regrettant que le site ne soit pris en compte "ni dans l'audit des installations nucléaires françaises demandé par le gouvernement, ni dans les dernières inspections faites par l'Autorité de Sûreté Nucléaire".
La ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, était attendue sur place vers 17H15 pour participer à une "évaluation précise des éventuels impacts radiologiques de cet accident".
Le ministre de l'Energie, Eric Besson, s'est dit "très touché par cet accident et par ses conséquences humaines", ajoutant sur Twitter que "la délectation jubilatoire de certains" quand se produit un incident ou accident industriel ou nucléaire "est malsaine".
Le Centraco a pour objet le traitement de déchets faiblement ou très faiblement radioactifs, soit par fusion pour les déchets métalliques (vannes, pompes, outils), soit par incinération pour les déchets combustibles, comme les gants ou combinaisons de travail des techniciens. Les deux fours ont été arrêtés par précaution.
"Une enquête va être diligentée afin de déterminer les causes exactes de l'accident qui a provoqué une vive émotion à tous les échelons de la Socodei", qui emploie quelque 200 personnes, a déclaré la société, ajoutant que "c'est la première fois qu'un tel drame de cette ampleur se produit sur le site".
L'ASN, d'après son site internet, avait cependant constaté dans le passé des "lacunes dans la culture de sûreté au sein de l'installation Centraco", et demandé à l'exploitant "de définir et de mettre en oeuvre des actions visant à améliorer la sûreté de l'exploitation". En 2010, des progrès avaient été constatés, selon la même source.
Selon l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui avait activé son centre d'urgence après l'explosion survenue à la mi-journée, l'accident s'est terminé à 16H00. Le four incriminé "servait à fondre les déchets radioactifs métalliques de faible et très faible activité".
La victime grièvement brûlée, dont le pronostic vital est engagé selon les pompiers, a été évacuée par hélicoptère au CHU de Montpellier. "Les secours n'ont décelé aucune contamination radiologique" sur les trois autres, hospitalisés à Bagnols-sur-Cèze (Gard), selon la préfecture du département.
Sur place, un membre de la direction du site, Roland Vierne, a précisé que la déflagration ne s'était pas produite dans le four lui-même, mais dans un local où il est situé, et que des analyses effectuées autour n'avaient décelé aucune fuite. Le bâtiment n'a pas été endommagé.
L'incendie déclenché par l'explosion a été rapidement maîtrisé, selon EDF, dont une filiale, la Socodei (Société pour le conditionnement des déchets et des effluents industriels), exploite le Centre de traitement et de conditionnement des déchets de faible activité (Centraco).
Toutes les victimes sont employées par la Socodei.
"C'est un accident industriel, ce n'est pas un accident nucléaire", a précisé à l'AFP un porte-parole d'EDF.
"Aucune mesure de confinement ou d'évacuation" des salariés "n'a été nécessaire", a souligné le ministère de l'Intérieur.
L'explosion "n'a pas occasionné de fuite radioactive", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère de l'Energie, ce qu'a confirmé le Commissariat à l'énergie atomique, exploitant nucléaire du site de Marcoule, dont dépend le Centraco, qui a levé son plan d'urgence dans l'après-midi.
Les organisations écologistes ont vu dans l'accident un exemple de plus des risques du nucléaire, six mois après la catastrophe de Fukushima au Japon.
Greenpeace a réclamé une "transparence totale et immédiate", regrettant que le site ne soit pris en compte "ni dans l'audit des installations nucléaires françaises demandé par le gouvernement, ni dans les dernières inspections faites par l'Autorité de Sûreté Nucléaire".
La ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, était attendue sur place vers 17H15 pour participer à une "évaluation précise des éventuels impacts radiologiques de cet accident".
Le ministre de l'Energie, Eric Besson, s'est dit "très touché par cet accident et par ses conséquences humaines", ajoutant sur Twitter que "la délectation jubilatoire de certains" quand se produit un incident ou accident industriel ou nucléaire "est malsaine".
Le Centraco a pour objet le traitement de déchets faiblement ou très faiblement radioactifs, soit par fusion pour les déchets métalliques (vannes, pompes, outils), soit par incinération pour les déchets combustibles, comme les gants ou combinaisons de travail des techniciens. Les deux fours ont été arrêtés par précaution.
"Une enquête va être diligentée afin de déterminer les causes exactes de l'accident qui a provoqué une vive émotion à tous les échelons de la Socodei", qui emploie quelque 200 personnes, a déclaré la société, ajoutant que "c'est la première fois qu'un tel drame de cette ampleur se produit sur le site".
L'ASN, d'après son site internet, avait cependant constaté dans le passé des "lacunes dans la culture de sûreté au sein de l'installation Centraco", et demandé à l'exploitant "de définir et de mettre en oeuvre des actions visant à améliorer la sûreté de l'exploitation". En 2010, des progrès avaient été constatés, selon la même source.
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